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LE RAGDOLL : 
Tout commence aux Etats-Unis…

 

La race Ragdoll est originaire de Californie aux États-Unis.

Elle a été créée en 1963 par Ann Baker, éleveuse de persans.

Son voisin possédait une chatte blanche, angora à poils mi-longs, du nom de Joséphine. Cette chatte fut accidentée et soignée à l’université. Elle guérit sans séquelles visibles. La suite de l’histoire n’est pas toujours claire. De nombreuses légendes entourent cette race. On dit que Joséphine eut trois petits au caractère extrêmement doux et affectueux.

Ann Baker les fit reproduire.

Par la suite, on raconta de nombreuses histoires contradictoires et incohérentes sur l’origine de cette race, parlant de mutations génétiques, d'œuvre de Dieu, d'enlèvement par des extraterrestres !!! 

Ann Baker fut la première éleveuse à utiliser le marketing pour faire connaître une race.

La race du mâle père des premiers ragdolls est incertaine. On a pensé au sacré de Birmanie et au burmese mais ces deux races étaient très rares à l’époque. On pense qu’il s’agirait plutôt d’un chat de gouttière à poils mi-longs. Il est décrit par Ann Baker comme un chat imposant, ganté comme le birman et avec une tache blanche sur le nez. Son nom était Blackie.

La légende dit aussi que l’accident de voiture rendit Joséphine et ses chatons insensibles à la douleur. Faux : le ragdoll est sensible à la douleur comme d'autres races.

Ann Baker crée en 1971, l’International Ragdoll Cat Association (I.R.C.A). Elle garde la mainmise sur les descendants de Joséphine et impose beaucoup de contraintes aux autres éleveurs de ragdolls. Ann Baker décède en 1997.

En Europe, les premiers ragdolls, descendants directs de Joséphine, sont importés vers la Grande-Bretagne en 1981. Deux anglaises, intriguées par ce qu’elles entendent des médias américains, se procurent chacune un couple et décident de faire un élevage. 

 

En 1986 le ragdoll est introduit en France par Noëlle Vialatte «Chatterie de Gailande» à Biarritz
et en 1988 la première portée française de 4 petits ragdolls voit le jour.

 

 

 

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